Un sous-marin à Neuvicq-Le-Château
Team’Story 1942 est le premier à avoir reconstitué le poste central, à échelle 1, d’un sous-marin allemand, le U-552 , la passerelle du croiseur HMS Belfast ainsi qu’un cabaret au décor 1942, »Le Smoking-Cat Cabaret »- unique en France
Nous vous ouvrons une parenthèse temporelle en visitant tour à tour ces trois bâtiments.
L’accueil du groupe se fera devant le château de Neuvicq où vous serez attendus en Traction Citroën. Votre hôte à l’allure d’un agent secret, vétu de son imperméable et de son chapeau de feutre, se fera fort de dégainer son 45 automatique de son holster de cuir marron, avant de vous guider vers le « Smoking-Cat Cabaret » où vous attendrez la suite des évènements…
Arrivés au « Smoking Cat Cabaret », décor somptueux 1942, vous sera offert un café. Vous serez séduits par cette reconstitution aux odeurs du passé. Du percolateur à la bouteille d’eau dite syphon en passant par la table de jeu, révolver négligemment posé près des dés et cartes, par les tasses estampillées « Smoking-Cat Cabaret », la fresque de Degas, peinte en fond de scène, le piano, le comptoir en bois, rien n’a été laissé au hasard pour asseoir un endroit qui s’exhume de notre vie trépidante et pressée. Un moment unique à déguster dans les couleurs chaudes du cabaret, la musique douce du jazz d’hier et le calme d’un temps ancien, révolu, perdu.
Puis vous serez dirigés par votre hôte qui se sera alors glissé dans l’uniforme du Commandant, vers le HMS BELFAST, navire anglais.
Découverte de la passerelle, avec table, manomètre, écran de bord, mess, couchettes… puis, le plateau géant sur lequel ont été stratégiquement positionnées les maquettes des divers bâtiments. Cette vue d’ensemble vous amènera à mieux cerner l’importance de la maîtrise de la mer. C’est par elle et seulement par elle que se fera la victoire sur l’Allemagne. La bataille de l’Atlantique a été décisive.
Celui qui maîtrise la mer, maîtrise le monde…S.A.
Puis endossant la tenue de Commandant de la Kriegsmarine, vous suivrez votre hôte, sur le quai d’embarquement où, imposant, le U.552, terrible machine de guerre, s’apprête à appareiller.
Avant de pénétrer dans le poste central, vous ne manquerez pas de remarquer la façade d’habitation reconstituée, les provisions attendant d’être chargées dans l’effervescence de la base sous-marine.
Puis, vous gravirez la passerelle du poste central du U-552, et descendrez les échelons par le kiosque. Vous voilà désormais immergés dans un des U-Boote des meutes agressives de l’amiral Dönitz qui défièrent l’Angleterre sur les mers du monde. Vous aurez un aperçu de l’atmosphère pesante, troublante qu’ont vécue ces marins de l’ombre, enfermés jour et nuit, pendant trois à six semaines, dans une double coque de fer et d’acier, confinés dans un espace réduit et clos, entourés de vannes, chasses aux balastes, manomètres, périscope, sans compter l’oppression du bruit incessant des moteurs, des explosions, des sifflements des vannes d’admission.
Nous avons recréé cet univers et nous vous proposons de vous en imprégner le temps d’un instant.
Tarif
Tarif : 10 euro par personne
- groupe de 25 personnes au maximum
- groupe de 12 personnes au minimum
- possibilité de déjeuner ou dîner : 18 euro ou 28 euro en sus, par personne
Le déjeuner ou dîner – 18 euro – se compose de :
Un apéritif accompagné d’une mise en bouche, d’un plat, d’un dessert, d’un café. Vin inclus –
Le déjeuner ou dîner – 28 euro – se compose de :
Un apéritif accompagné de 3 variétés de mises en bouche, d’une entrée, d’un plat, d’un plateau de fromage, d’une salade, d’un dessert et d’un café. Le vin est également inclus.
Tarif pour une visite privée avec restauration (de 1 à 4 personnes maximum)
48 euro par personne avec déjeuner ou dîner ou 38 euro, selon la formule repas/déjeuner choisi.
Pour le déjeuner ou dîner, voir la composition ci-dessus.
Cet évènement a été relayé par : (voir Galerie)
- La Charente Libre – Première page
- L’Hebdo – Première page
- L’Angérien libre – exceptionnellement 2 pleines pages
- Sud-ouest – juin et juillet 2013
- FR3
- Militaria
- L’Hebdo